Première et torride expérience de trois

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il y a 8 ans

Première et torride expérience de trois

Un sms reçu ce matin me fit repenser à la rencontre avec mon ex-copine, rencontre pour le moins épique...

Je sortais d'une longue relation, dont la conclusion n'avait pas été en mon avantage. Après quatre années de "bons et loyaux services", cette fille m'avait abandonné pour l'un des mes meilleurs amis. Bonjour l'ambiance ! La situation n'avait bien évidemment pas été facile à accepter, mais nous le savons tous, il faut savoir se faire une raison !

Un soir donc, quelques jours après, un ami vient me rendre visite. Il connaissait bien l'état d'esprit dans lequel je me trouvais, et souhaitait m'inviter à une petite soirée barbecue organisé par son employeur. A la rigolade, nous commencions à nous imaginer séduisant une jolie femme et terminant la soirée chez elle... Peu de temps après, le moral somme toute regonflé, nous nous sommes mis en route pour cette fête. Rien d'exceptionnel à première vue, nous mangeons bien, buvons bien, plaisantons avec nos voisins de table, mais rien de amusantes prédictions ne se réalisent.

Un peu plus tard dans la soirée, une jolie blonde s'assoit à notre table. Elle semblait connaître mon ami, et semblait également très intéressée et entreprenante. Je me souviendrai toujours de son chemisier, blanc et presque transparent, de ses boutons largement ouverts qui ne laissaient que peu de place à l'imagination et nous offraient à tous une vue plongeante sur sa petite poitrine. Tous les trois discutions, plaisantions et passions une agréable soirée mais je sentais bien que l'affaire était pliée pour mon ami, et que moi-même je passerai la nuit tout seul.

C'est en effet se qui se passât. Alors que tous les invités s'affairaient pour partir, cette jolie blonde demanda à mon ami s'il pouvait l'accompagner pour lui donner un "coup de main". Evidemment, je ne pouvais pas m'imposer : j'aurais été un salaud de peut-être gâcher un si bon plan à mon pote !

N'ayant pas de voiture, cet ami me propose donc de me déposer chez moi et indique à cette belle ingénue qu'il la rejoindra dans quelques minutes. Le court trajet en voiture jusqu'à ma maison nous permit de mettre au point le dernier stratagème : Si il y a moyen de m'inviter à les rejoindre, il m'appellera. J'avoue que j'avais malgré tout peu d'espoir, ce n'est pas tous les jours qu'on rencontre une fille suffisamment ouverte pour, dès le premier soir, s'envoyer en l'air avec deux mecs !

Effectivement, je ne reçus aucun coup de fil cette nuit-là. Le lendemain, mon ami me raconta sa soirée. Cette fille n'avait pas froid au yeux, à peine franchi la porte d'entrée qu'elle se jeta sur lui, le prit de longues minutes dans sa bouche, ils se déshabillèrent et firent l'amour plusieurs fois, de la cuisine au salon, en passant par le jardin. Il m'avoua d'ailleurs avoir sans doute passé la nuit la plus chaude de sa vie. Et me promit que nous lui ferions l'amour ensemble.

Je ne savais pas vraiment si cela serait réellement possible, mais connaissant bien mon ami, je savais qu'il ferait le nécessaire pour que cela le soit.

Durant environ deux semaines, je le voyais partir de nuit, à la fin de nos soirées, à la rencontre de cette femme. Un simple coup de fil ou sms lui permettait de se rendre chez elle et de passer des moments fort agréables.

Il me confia un jour avoir commencé à discuter avec elle de fantasmes. Il n'était pas si innocent que ça en l'invitant sur le chemin glissant de cette conversation... Il réussit ainsi à lui faire dire qu'un plan avec deux garçons la tenterait. Il ne perdit pas de temps pour lui avouer que l'ami qu'elle avait vu le soir de la fête, en l’occurrence moi, la trouvait fort séduisante et qu'il se serait sans doute tenté par l'aventure.

Il m'appela donc le lendemain pour m'annoncer que notre projet était sur la bonne voie.

En effet, quelques jours plus tard, je reçus un coup de fil de mon ami. Ca y est, j'était invité. Alors qu'il était invité à venir s'amuser chez son amante, il lui annonça qu'il viendrait accompagné, et bien que surprise, ne refusa en rien la proposition.

Quelques minutes plus tard, je vois donc sa voiture arriver devant ma porte.

J'avoue que j'était quelque peu stressé, inquiet de savoir comment tot cela allait se passer. Nous sommes arrivés très rapidement au domicile de cette blonde incendiaire.

Elle nous ouvrit la porte, vêtue d'une simple nuisette couleur crème. Elle aussi semblait quelque peu tendue, anxieuse quant au déroulement de cette rencontre.

Mon ami lui proposa de nous servir quelque chose à boire. Elle se rendit donc à la cuisine, et la suivions, observant son joli corps et les courbes de ses jolies fesses à travers la courte nuisette.

Alors qu'elle nous servait un Rhum-cola, mon ami se mit à l'embrasser, à caresser ses seins, ses hanches. Il m'invitait par son regard à en faire autant, mais j'étais comme gêné par cette situation. Je me voyais mas être si entreprenant et peut-être la mettre si mal à l'aise que la soirée serait gâchée. Je le laissais donc faire quelques instants sans bouger, observant ce qui se passait.

Les verres furent rapidement servis et nous sommes partis en direction du canapé du salon, sur lequel elle s'assit. Je me rendis compte à ce moment-là que sous cette nuisette ne se cachait pas de culotte. Je pris donc confiance en moi et en les intentions claires qu'elle avait en tête.

Pas un poil ne se dégageait de son sexe aux lèvres imposantes. Je m'assis ainsi à sa droite, alors que mon ami s'installait à sa gauche. Nous discutons quelques instants, sirotant nos verres, et mon ami se pencha pour l'embrasser de nouveau. Profitant de la situation, je posai ma main sur les cuisses de notre hôte et commençai à profiter de la douceur de cette peau pâle, presque blanche comme la neige.

Mon ami retira son pantalon et grimpa sur le canapé. Ouvrant la bouche, elle entreprit de sucer son sexe déjà dur comme le bois. Je remontai alors le tissu en haut de ses cuisses, me mit à genoux et m'approchant de sa vulve, commençait à sentir les effluves de son sexe.

Je compris au contact de son vagin sur les lèvres qu'elle était déjà très excitée. Rarement je n'avais vu une fille mouiller si fort.

J'embrassai chaque recoin de son intimité, et elle commençait à gémir doucement, le sexe de mon ami toujours solidement planté dans sa bouche. Elle l'aspirait, le léchait avidement, embrassait son gland, ses couilles, tentait de l'avaler au plus profond de sa gorge, dans des mouvements de plus en plus rapides qui arrachaient à mon ami des râles de plaisir.

Peut-être déjà trop excité, il décida de prendre ma place entre les jambes brûlantes de notre amante d'un soir. Je quittai donc mes vêtements, en profitai également pour lui retirer sa nuisette et découvrir ses petits seins aux tétons pointus que j'imaginai si sensibles. Elle attrapai la tête de mon ami et lui interdisant de retirer sa langue de son sexe, profitai du plaisir octroyé en fermant les yeux, gémissant, la tête en arrière, appuyée sur le canapé.

Mes mains se baladaient sur sa poitrine, je découvrais leur forme, leur texture, j'embrassai son cou, ses épaules, je m'attardai sur ses exubérants tétons pointus qui m'excitaient tant. Elle gémissait de plus en plus fort et me supplia dans l'oreille de lui donner ma queue.

Je me relevais donc et approchai mon sexe encore au repos de sa bouche. Elle m'avala entièrement, m'attrapant par les fesses. Cette vision de son visage écrasé contre mon bas-ventre et de sa langue sorti sur mes couilles eut l'effet escompté : quelques secondes après, ma bite avait enfilé son costume de bataille. Elle ne pouvait plus m'avaler entièrement, mais elle me pompait amoureusement, salivant sur mon sexe, gémissant sous les caresses buccales de mon ami qui commençait également à la doigter sauvagement. J'aimai sentir sa langue parcourir mon sexe, son souffle ardent caresser ma peau brûlante, j'aimai voir mon sexe venir et sortir de sa bouche si gourmande, j'aimai la voir ainsi, les jambes grandes écartées, se faire dévorer et gémir de plaisir.

Mon ami se leva et approcha son sexe, dans l'espoir de se refaire sucer lui aussi. Elle attrapa nos deux sexes par la main, se leva du canapé et nous fit la suivre. Nous montions les escaliers, elle devant et nous comme deux toutous tenus en laisse. Mon ami et moi nous regardions et nos regards en disaient long : nous allions nous amuser, beaucoup nous amuser...

Nous arrivons donc dans sa chambre. Décor minimaliste, murs blancs, penderie en bois dans le style japonais, un lit futon au drap v i o l et, et un grand miroir reflétant presque l'ensemble de la petite pièce.

Elle s'allongea au bord du lit, et invita mon ami à sortir les préservatifs. je la rejoignais et, pas encore protégé, lui tendit de nouveau mon sexe dans la bouche. Qu'il était bon de sentir cette douce chaleur envahir mon pieu, et de la regarder me sucer dans cette grande glace qui nous faisait front. J'observais son sexe ouvert et humide, le caressais doucement pendant que mon ami me tendait une capote et enfilait la sienne.

Ni une ni deux, il la pénétra fortement, ce qui arracha à notre nymphomane un véritable cri de plaisir. Attrapant et écartant ses jambes, il entreprit de la baiser fortement. On entendait le claquement des coups de fouet de ses couilles sur les fesses de la demoiselle, qui criait littéralement sous les coups de boutoirs. Ma bite profondément plantée dans sa bouche, j'allais et venais moi aussi de plus en plus fort, ce qui semblait aussi l'exciter au plus point. Ele tentait d'accompagner mes mouvements, m'avalant parfois jusqu'à la hampe, et gémissant comme une chienne. Excité et dur comme l'acier, je me retirais et descendais du lit afin d'enfiler ma capote. Me voyant ainsi, mon ami la retourna à quatre pattes et se positionna devant elle. L'attrapant par les cheveux, il fit coulisser sa bite dans sa bouche. Je les observai un instant. Elle était belle quand elle le suçait, elle était belle dans l'effort d'avaler cette grosse bite. Sa chatte était grande ouverte. J'y glissai alors deux doigts, qui s'enfoncèrent sans le moindre effort. Je la sentais bouger son bassin, elle voulait me sentir, elle voulait se sentir remplie de nouveau.

Je pénétrais alors au plus profond d'elle. Lentement d'abord, de partais à la découverte de chaque centimètre de son intimité. Chaude et excitée, elle en voulait plus, toujours plus, et se débattait pour que je la prenne plus fort. L'attrapant par les hanches, je commençais à la baiser v i o l emment ce qui lui arracha de puissants râles de plaisir. Chacun de ses cris et gémissements, étouffés par la bite de mon ami, me rendaient encore plus vaillant et puissant dans mes coups de bite.

Je voyais dans le regard de mon ami, qui souriait tel un e n f a n t à noël, qu'il me recommandait quelque chose. Je compris rapidement qu'il voulait que je change de trou, qu'il voulait que je prépare le cul de notre jouet à de nouvelles sensations.

J'avoue avoir été trop timide, ou gêné, à ce moment-là et n'avoir pas osé la sodomiser. Après tout, je ne savais pas encore si elle était partante pour ce genre de pratique !

Voyant que je ne prenais pas les devants (ou plutôt les derrières !), il m'invita à m'allonger sur le lit et lui ordonna de venir s'empaler sur moi. Quelle exquise sensation... Sentir son sexe s'ouvrir sur le mien, je me croyais au paradis. Je me doutais alors, au vu de ses gémissements, que cette position était sa favorite. Elle ne perdit pas un instant pour v i o l emment se baiser sur ma bite, avec une ardeur que je n'avais encore jamais vu chez personne. Elle criait et bougeait si fort que j'en crus perdre mon préservatif.

Mon ami se rapprocha de ses fesses et commença à lui lécher le petit trou. Toujours aussi furie, elle lui dit immédiatement de changer de capote, ce qu'il fit aussitôt. Elle arrêta un instant ses mouvements et, écartant ses fesses avec ses mains, l'invita à la pénétrer. Il n'eut aucune difficulté à rentrer dans son cul, et rapidement, nous prîmes le contrôle de la situation.

La serrant contre moi, j'allais et venais en elle de toutes mes f o r c e s. Je sentais sa mouille couler sur mes cuisses, j'écoutais ses gémissements dans le creux de mon oreille alors qu'elle m'embrassait passionnellement. Lui était tout aussi excité, je sentais sa bite venir au plus profond d'elle alors qu'il la baisait et lui donnait de v i o l entes fessées. Il ne se passa que quelques instants avant qu'elle ne soit secouée par un puissant orgasme, criant à en réveiller un m o r t (et surtout les voisins !).

Son corps et ses orifices qui se tendaient alors si fort arrachèrent aussitôt à mon ami une vague de plaisir qu'il ne put contenir. Toujours profondément planté au fond du cul de notre jolie poupée, il ne retint pas son orgasme et remplit sa capote de son sperme bouillant.

Elle m'embrassa alors, je la sentais heureuse mais pas encore comblée.

Il se retira de son orifice ouvert, et s'en alla jeter son préservatif à la poubelle. Le demoiselle reprit ses mouvements de plus belles. Son ardeur n'avait pas baissé d'un cran et elle recommençait à se baiser si v i o l emment sur ma bite. Mes mains solidement posées sur ses fesses, j'accompagnai ses mouvements de puissants coups de bite au fond de sa chatte.

Notre ami ne revenait pas, peut-être ne voulait-il pas déranger, qui sait ?

Elle se retira et s'allongea sur le dos. Les jambes grandes ouvertes, elle attrapa ses fesses et les écarta, m'invitant moi aussi à découvrir l'autre facette de son intimité. Me rappelant de ses premières recommandations, j'attrapai une nouvelle capote et remplaçai ainsi la mienne.

Je posai mon gland sur son petit trou si accueillant. Je n'eus même pas besoin de pousser, mon sexe fut aspiré par ce cul si chaud et avide de sensations fortes.

Elle était serrée mais pas trop, jamais je n'avais pris autant de plaisir dans la sodomie. Les yeux fermés, elle criait, me suppliant de la prendre de plus en plus fort, ce que bien sûr je fis, répondant au moindre de ses désirs.

Nous avions chaud et transpirions à grandes eaux dans la chaleur de cette petite chambre, mais elle en voulait toujours plus... Je l'enculais comme jamais je n'aurais imaginé le faire avec qui que ce soit, et elle se caressait le clito si vite et si fort que sa mouille en giclait sur mon ventre. Elle ne tarda pas à venir de nouveau, la bouche grande ouverte, terrassée par de puissants spasmes au plus profond d'elle-même. Je restai planté au fond d'elle, lui laissant quelques instants pour profiter de la plénitude de son bien-être.

C'est à ce moment-là que mon ami fit de nouveau son irruption dans la chambre.

Il était encore nu, et s'assit sur un coin du lit.

  • "c'est pas encore fini tout ça ! on va y passer la nuit ?" dit-il en rigolant.

Il n'en fallait pas plus pour que notre maîtresse me demande de m'allonger et entreprenne de me faire jouir avec sa bouche. Elle me retira doucement la capote, la jeta par terre et, à quatre pattes, offrant une superbe vue sur ses deux trous à notre compagnon, et me lécha la bite de long en large.

Mon ami palpait ses fesses, glissait quelques doigts dans son anus ou sa chatte, pendant que, sa langue léchant mon gland avec gourmandise, elle me branlait rapidement. Deux minutes plus tard, je me sentais venir. Tant d'excitation me fit monter plus de sperme que jamais, et j'inondais sa bouche et son visage de puissants jets de sperme. J'étais vidé, et heureux... Quelle parfaite nuit de sexe nous avions passé tous les trois !

Souriant, nous nous sommes levés, mon ami et moi nous sommes rhabillés et elle nous conduisit jusqu'à la porte d'entrée, toujours nue et le visage souillé de ma semence.

Je lui fit noter mon numéro de téléphone, lui faisant bien comprendre qu'il ne fallait pas qu'elle hésite à me contacter...

... ce qu'elle fit à de nombreuses reprises, avant de, quelques mois plus tard, nous mettre ensemble et vivre une belle histoire d'amour qui dura presque trois années.

Evidemment, ces trois années ont été riches en aventures sexuelles torrides (mais plus jamais à trois par contre)

Smith13

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